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pascal buchet - Page 4

  • Fontenay et vous !

    Le numéro du  journal de l'Union Pour Fontenay-aux-Roses du mois d'avril, Fontenay et vous, est sorti. Il est actuellement distribué sur l'ensemble de la ville.

    La liste Union Pour Fontenay-aux-Roses, composée de membres de l'UMP, de l'UDI, de sans-étiquettes et de personnalités de la société civile, vous propose de lire le numéro d'avril 2013 de son petit journal : Fontenay et Vous.

    Dans ce numéro, vous y trouverez un article de soutien de Monsieur Guy Berger, tête de liste de l'opposition municipale à Pascal Buchet en 1995.

    Egalement au sommaire : des articles d'informations sur l'absence de politique municipale à destination de la petite enfance, la mare aux grenouilles, le deneigement de nos rues ou encore le mur végétal derrière le marché. Vous y trouverez aussi un sudoku et un quiz purement fontenaisien.

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      » Vous pouvez le télécharger ici.

  • Bilan : Fontenay-aux-Roses est-elle une ville faite pour les familles ?

    Nous sommes pratiquement à un an des élections municipales. Le moment est donc venu de faire un bilan de cette mandature. Aujourd'hui, je souhaite vous parler des crèches à Fontenay-aux-Roses, élément important de la politique familiale de notre commune.

    En 2008, le document programme de Pascal Buchet prenait l'engagement de faire de Fontenay-aux-Roses la ville pour les enfants ... nous voulons que les crèches se développent, écrivait-il alors sur ce document. En février 2013, les chiffres parlent d'eux-mêmes.

     

    En 2010, il y avait à Fontenay-aux-Roses :

    • 5 crèches municipales offrant 180 places aux petits Fontenaisiens
    • 2 crèches départementales offrant 84 places aux Fontenaisiens
    • 2 crèches associatives offrant 75 places aux petits Fontenaisiens

    Au total, cela faisait environ 339 places de crèches réservées aux enfants de notre ville. En complément de ce dispositif, se trouvait également une crèche départementale familiale (enfants accueillis aux domiciles des assistantes maternelles) qui pouvait accueillir une cinquantaine d'enfants.

     

    2013-creches.jpgEn 2013, le nombre de berceaux a diminué. D'une part le département se désengage de la gestion des crèches au profit d'un autre dispositif. La ville reprend donc la gestion de ces crèches dans le cadre d'une convention avec le département, mais ce dernier doit faire des travaux pour être aux normes. Les enfants sont alors accueillis pendant ces travaux dans les locaux de la crèche départementale familiale que la mairie a refusé de municipaliser et qui a fermé.
    D'autre part, fin juin 2011, la municipalité a fermé la crèche Sainte-Barbe en supprimant 45 berceaux pour mettre à la place une maison des associations (dont les travaux n'ont toujours pas débuté 2 ans après).

    Bilan en 2013, les places en crèches se répartissent de la façon suivante :

    • 6 crèches municipales offrant 240 berceaux
    • 2 crèches associatives offrant 75 places (non financées par la ville)

    Au total, cela fait aujourd'hui 315 berceaux pour les petits Fontenaisiens soit une réduction de 7% des places en crèche à Fontenay-aux-Roses.

     

    L'actuelle équipe municipale n'a pas tenu son engagement de 2008. Notre ville est déjà la commune des Haut-de-Seine qui perd le plus d'habitants (chiffres INSEE) à cause d'une politique du logement qui ne permet pas l'installation des familles qui s'agrandissent. Ce phénomène est aggravé par l'absence d'une véritable politique de la famille sur notre ville.

    La garde et l'accueil des enfants doivent être une priorité. En 2014, nous vous proposons de mettre en place une véritable politique de l'accueil des tout-petits pour le bien-être des familles.

    09-02-2011_creche.jpg

     

    A lire pour en savoir plus :

  • Union Pour Fontenay-aux-Roses

    Ce matin, nous avons distribué sur le marché le premier tract de l'Union Pour Fontenay-aux-Roses. Des membres de l'UDI et de l'UMP ont distribué ce document qui a reçu un excellent accueil de la part des Fontenaisiens.

    18-01-2013_tract-union-pour-fontenay.jpg

    » Télécharger le document

  • La ville où il fait bon vivre continue de perdre des habitants !

    Comme chaque année, l'INSEE publie les chiffres concernant l'évolution de la population dans les Hauts-de-Seine. Alors que dans le département le nombre d'habitants continue d'augmenter, à Fontenay-aux-Roses c'est l'inverse qui se produit, comme les années précédentes.

    Les chiffres de l'INSEE sont sans appel : la population augmente dans le département (+11 292 habitants en un an) selon les résultats du recensement partiel effectué en 2012. Sur les 36 communes de notre département, 25 voient le nombre d'habitants augmenter, dont le Plessis-Robinson qui attire le plus de personnes, mais aussi Bois-Colombes, Châtillon et Châtenay-Malabry.

    Par contre, une fois de plus, Fontenay-aux-Roses se caractérise. Notre commune enregistre le plus de départs pour les villes dont la population diminue. La ville où il fait bon vivre, selon Pascal Buchet, est la ville du département où la population baisse le plus.

    C'est un élément de plus à inscrire au bilan de l'actuelle municipalité et qui confirme le déclin dans lequel s'inscrit notre ville depuis 19 ans.

    • Les commerces ferment et ne sont pas remplacés.
    • Les habitants ayant un pouvoir d'achat nécessaire au dynamisme économique de notre ville partent.
    • La mise en cause de la mixité sociale en refusant toute construction en accession à la propriété favorise les départs des habitants de notre ville, notamment les jeunes familles qui ne trouvent pas à se loger lorsque le nombre d'enfants augmente.

    Il s'agit d'un véritable problème de fond quant à l'avenir de Fontenay-aux-Roses. Depuis 19 ans, l'actuelle municipalité n'a aucune vision d'ensemble du développement de notre commune. Si Fontenay était vraiment une ville agréable à vivre, la population ne diminuerait pas.

    Alors, j'entends déjà la réponse du maire : "c'est le choix de la stabilité pour lutter contre la densification". L'emploi du mot "densification" étant destiné à faire peur.

    En réalité, nous sommes face à deux conceptions du développement urbain de Fontenay-aux-Roses. D'un côté l'immobilisme et le déclin, défendus par l'équipe actuelle. De l'autre, la volonté de dessiner un avenir à notre ville, en rendant aux Fontenaisiens des rues propres, des logements adaptés à toutes les catégories sociales et des commerces variés au dynamisme bénéfique à tous.

    Ce débat sera essentiel lors des prochaines élections municipales, en 2014, pour en finir avec ce déclin que nous subissons depuis 19 ans.

     

    Pour mémoire : le nombre d'habitants à Fontenay-aux-Roses avait diminué de -1,8% en 2011 et de -1,36% en 2012. (sources INSEE).

  • Le voeu du groupe communiste sur le gel des dotations de l'Etat

    Au Conseil municipal du 6 décembre, le groupe communiste a déposé un voeu concernant le gel des dotations globales destinées aux collectivités territoriales et ce pour les deux années qui viennent.

    Ces dotations sont versées par l'Etat aux collectivités territoriales. La décision a été prise au Ministère du budget de les geler et cela a bien été confirmé par Pascal Buchet lors de ce Conseil municipal.

    Le groupe communiste a donc déposé un voeu afin d'exprimer son inquiétude face à cette décision du Gouvernement (de gauche) et sa crainte quant au maintien des services rendus à la population par les collectivités locales. Dans cette hypothèse, l'une des solutions est d'augmenter la fiscalité locale afin de maintenir les services rendus. Le voeu du groupe communiste consiste à demander au Gouvernement de revenir sur cette décision. La majorité municipale a accepté, en précisant que pour le maintien de la qualité des services municipaux, il n'y aura pas d'autre option que l'augmentation de la fiscalité.

    Tout d'abord, le fait de geler les dotations aux collectivités locales touche toutes les communes, quelque soit la couleur politique. Ce problème n'est donc pas purement fontenaisien. D'autres municipalités réussissent pourtant à maintenir la qualité de leurs services municipaux sans hausse des impôts.

    Ensuite, en période de crise, et après une série d'augmentations de la pression fiscale à Fontenay-aux-Roses (impôts locaux, tarifs de la restauration scolaire, tarifs des services municipaux ... ), il est anormal que la municipalité socialo-communiste ne pense qu'à "revaloriser la fiscalité", comme l'appelle pudiquement Monsieur Gilles Mergy !

    Enfin, il apparaît comme une évidence qu'à force d'attendre tout de l'Etat, l'équipe municipale n'est plus en mesure d'anticiper une vision d'avenir de l'évolution de notre ville ainsi que les moyens d'y parvenir. Il semble qu'un effort dans la gestion des collectivités locales est nécessaire afin de stopper l'augmentation des dépenses, parfois pour des projets dont l'absolue nécessité nous échappent complétement (comme par exemple la mare à batraciens, avenue Lombart, pour un budget global de 200.000 Euros).

    Une des façons de générer des recettes nouvelles pour une commune est de favoriser le dynamisme économique, l'implantation d'entreprises et de commerces, ainsi qu'une véritable politique du logement permettant une réelle mixité sociale. Sur tous ces points, Pascal Buchet et son équipe ont échoué. Il faudrait plus d'entreprises sur notre ville, pour plus de recettes fiscales, et moins de pression fiscale sur la population.

    Il faut plus de justice pour les habitants de Fontenay-aux-Roses avec la recherche de nouvelles solutions pour générer des recettes. Et que l'on ne vienne pas nous dire que, dans notre ville, il n'y a pas de possibilité d'implanter des entreprises et des commerces. Il y a des terrains, il y a des commerces inoccupés ... il faut juste faire preuve de volonté et d'innovation.

    Dans tous les cas, l'augmentation de la fiscalité semble bien être le seul moyen d'action que connait la gauche tant au niveau gouvernemental qu'aux niveaux des différents territoires (régions, départements, communautés d'agglomérations, communes ... ).

    Il est temps dans notre ville que cela change.